Par Cécile TAUVEL (co-fondatrice de La Minut’Rit)

Après « Comment bien planter son recrutement ?« . Voici un extrait de ce qui s’est dit pendant l’atelier : « La force obscure de la cooptation » du #TruNormand organisé à l’EM Normandie par Link Humans.

 

Première question à se poser : qu’est-ce que la cooptation ?

  • le piston, c’est-à-dire que j’appuie quelqu’un jusqu’au bout, c’est une sorte de passe-droit. La cooptation est plutôt objective.
  • le réseau professionnel permet de favoriser sa propre cooptation ou celle des autres.
  • la recommandation permet de sécuriser un recrutement.

 

C’est un gain de temps pour l’entreprise et un autre moyen de sourcing. Cela va plus loin que la recommandation de compétences.

 

70 % des offres de cadres ne sont pas diffusées publiquement.

 

Afin de favoriser la cooptation, il est intéressant de rencontrer des professionnels. Par la suite, nous pouvons demander 3 à 5 noms de contacts qu’ils pourraient nous recommander. On ne demande rien à la personne elle-même.

 

On peut plus facilement coopter quelqu’un avec qui on a travaillé, mais attention il y a souvent beaucoup de non-dits. Il faut donc être prudent quand on coopte. On coopte moins quand on connaît très bien une personne car c’est plus engageant.

 

Et le côté obscur (cf le titre) ?

Ce sont souvent les règles qui sont mal définies.

 

Finalement, coopter c’est mettre en avant, en contact. C’est peut-être obscur pour ceux qui ne maîtrisent pas la cooptation car il y a une grande partie d’entre soi et beaucoup n’y ont pas accès.